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Le mardi prochain, le jury démarre à 9h30. Quelques informations:
-pour l’affichage des planches, il faudrait avoir des cimaises ou en absence d’un nombre suffisante, vous pouvez superposer des tables. Depuis l’administration, ils m’indiquent que la personne responsable est Thierry Dubois, que vous pouvez contacter de ma part. Je vais essayer d’être à 9h00 pour organiser l’affichage.
-vous avez 10 minutes d’exposé. Le fait que vous avez développé un rendu assez long permettra le jury de saisir le travail accompli, notamment, la notion de système, la relecture/présentation du site, et le projet comme une stratégie déployée sur plusieurs bâtiments.
-l’ordre sera le suivant: Pigeard / Polin / Lebry / Cresseaux / Boufadene / Rigobert / Schneider / Artagnan / Civel / Le Calvé / Charron. S’il n’y a pas suffisamment de linéaire pour tout afficher, il faut au minimum s’assurer qu’il y a deux surfaces dans deux endroits opposés pour que le jury puisse corriger un projet pendant que les planches d’un autre s’installent à côté.
-contrairement à des autres P45, nous aurons deux invités: Paul Gresham et Janine Galiano, enseignants à l’école de Paris-Belleville (Licence et Master). Ça permettra d’avoir une pluralité de regards, tout en respectant la pédagogie du semestre et vos efforts. Paul s’intéresse au processus, à la dimension matériel et perceptive du projet, tandis que Janine cherche à comprendre les différents modes de vie, la dimension constructive et la construction de l’espace publique.
-une fois que nos invités seront partis, on aura une courte séance pour boucler le semestre afin d’échanger sur la pédagogie, la méthodologie et le voyage. L’idée c’est que chacun puisse s’exprimer sur l’expérience y compris les collègues qui ne feront pas de rendu.
-IMPORTANT, pas plus tard du mercredi 19 24h00, veuillez m’envoyer un PDF de votre rendu par Wetransfer. -
JURY FINALconcernant le rendu final qui arrive très rapidement, je tenais à faire le point par rapport à notre Studio et par rapport à la présentation générale dans la grande nef.01.- Pour notre jury partagé avec Nicolas Karmoshkine: Il démarre à 9h30. Je propose de travailler sur des planches A2 orientées en verticale et disposées les unes après les autres dans une narration horizontale. Je crois que ça suffit pour avoir des documents à une bonne échelle et visibles à une certaine distance (il y aura deux groupes d’étudiants, donc pas de miniatures SVP). Ça permet aussi d’avoir plusieurs documents par planche afin de pouvoir articuler une pensée et un argument spécifique. Le rendu est une NARRATION, une DÉMOSTRATION:- d’abord, le rendu doit permettre de comprendre le dispositif qui vous a été accordé et le système que vous avez développé à l’écart du site (donc, les éléments qui le composent et sa dimension peut-être structurelle, constructive, dimensionnelle... le catalogue)- ensuite, il faut présenter le site à partir des paramètres spécifiques que vous avez repérés comme les plus importants (donc une réécriture du site, photos, plans, coupes, axonométries...).- finalement, le "projet" o plus précisément, le résultat de la façon dont ce système se déploie sur le site, tient compte des paramètres énoncés préalablement, du double programme, y compris la mise en place d’un certain type d’habitant et d’une forme d’habiter. Perspectives, plans, coupes, élévations...Il y aura une (ou plusieurs) maquettes pour vous aider dans votre exposé. Il ne faut pas qu’elles soient de “maquettiste” avec tous les éléments hyperréalistes. Peut-être c’est une maquette de structure, de niveaux, des circulations, d’usage, du mobilier... Vous pouvez reprendre des maquettes anciennes qui montrent un aspect concret, mais il y aura une maquette qui doit forcément participer dans la présentation générale dans la grande nef.02.- Pour l’exposition Grande Nef: Vous allez imprimer un deuxième jeu des planches et vous allez les plier pour former un cahier A5 qui sera suspendu d’un fil. À l’aplomb de chaque livret ainsi composé par plusieurs cahiers agrafés, pourra être posé une maquette.
Le mardi soir 18, pas plus tard de minuit, je dois avoir reçu par e-mail les planches en format PDF et dans la mesure des disponibilités, une photo de chaque maquette produite lors du semestre organisé chronologiquement. Le mercredi prochain, je vais ramener certaines planches et on reparlera du rendu avec vos questions. -
Carte Blanche à Tomás Saraceno au Palais de TokyoON AIR
’exposition ON AIR se présente comme un écosystème en mouvement, accueillant une chorégraphie à plusieurs voix entre humains et non-humains, où les oeuvres révèlent les rythmes et trajectoires communs, fragiles, et éphémères qui unissent ces mondes. ON AIR se construit grâce à la multitude de ces présences, animées et inanimées, qui y cohabitent.L’exposition est comme un ensemble, qui révèle la force des entités qui peuplent l’air et la manière avec laquelle elles nous affectent : du dioxyde de carbone (CO2) à la poussière cosmique, des infrastructures et fréquences radio à de nouveaux couloirs de mobilité aériens. Ces histoires invisibles, qui composent la nature dont nous faisons partie, nous invitent à repenser poétiquement notre manière d’habiter le monde – et à réévaluer notre manière d’être humain.Alors que les activités industrielles prédatrices exploitent la Terre, épuisent ses ressources et menacent d’entières écologies, ON AIR célèbre de nouvelles manières d’imaginer une planète libérée de frontières et d’énergies fossiles, au travers de nouveaux modes de production de la connaissance. De cette manière, l’exposition répond aux défis posés par l’Anthropocène, terme proposé pour décrire une époque de la Terre dans laquelle nous vivons désormais, et qui a débuté lorsque les activités humaines ont eu un impact global sur l'écosystème terrestre. C’est ainsi particulièrement au travers des activités de l’Aerocene, un projet artistique interdisciplinaire initié par Tomás Saraceno, qui cherche à réactiver un imaginaire commun afin de collaborer éthiquement avec l’atmosphère et l’environnement, que les visiteurs sont invités à s’engager collectivement dans un exercice d’harmonisation planétaire.ON AIR réunit une grande variété de collaborateurs, rassemblant des institutions scientifiques, des groupes de recherches, des activistes, des communautés locales, des visiteurs, des musiciens, des philosophes, des animaux non-humains, des phénomènes célestes, qui participent tous à la vie de l’exposition. Des ateliers, des concerts, des séminaires ouverts au public enrichissent régulièrement une exposition transformée en une vaste « jam-session cosmique », résonnant au rythme des rencontres et d’assemblées nées de nouvelles solidarités entre espèces -
JURY INTERMÉDIAIREPour le rendu intermédiaire donc, ça se déroule en deux étapes. La première en séance dans notre Studio entre 13h00 et 16h30. Chaque étudiant doit présenter sa démarche sous la forme d’un système d’éléments isolés qui arrivent à former un espace. Il faudrait discuter sur 5 points:01.- la croissance du système en plan et en coupe02.- la dimension structurelle03.- la dimension constructive04.- la dimension programmatique (rapport intime/collectif, circulation)05.- la dimension du mobilierIl faudrait ajouter aussi, un minimum de 5 photos des espaces intérieurs imprimées sous format A4, y compris avec du mobilier et des personnages en silhouette. Le nombre de pièces de chaque élément sera le nécessaire pour discuter de toutes ces questions, autrement dit, il n’y aura pas seulement 1 seul “exemplaire” de chaque élément, mais plusieurs, afin de pouvoir expliquer plusieurs propositions / combinaisons. Toutes les pièces doivent rentrer dans une boîte en carton mousse blanc avec le côté le plus large transparent, afin de pouvoir voir toutes les pièces à l’intérieure (formant une sorte de vitrine).Pour le jury intermédiaire à 17h dans la grande nef, je ferai une courte présentation des données, et ensuite, Arthur fera la présentation de sa démarche à partir des maquettes qu’il a fabriqué en expliquant le parcours qu’il a fait pour y arriver à la dernière proposition. Le reste va organiser les boîtes sur les tables qui nous seront accordés et s’il y a plus de place, certaines auront l’opportunité de monter leurs systèmes. Pensez donc à comment vous allez assembler les pièces, parce qu’elles ne seront pas collées. Je trouve que la maquette de Paul BESANCON était assez proche de cette demande.Pour le contexte, il faut le modéliser avec précision. Vous savez que la parcelle est plus grande (longue) que la maison, car le plateau/terrasse sur lequel elle vient se poser dépasse l’emprise du bâti. On voyait la limite depuis le jardin (voir photo ci-joint). À partir du cadastre, il faut modéliser la parcelle, le jardin, les bâtiments les plus proches au niveau de volumétries. Divisez le travail entre tous, afin de fabriquer un fichier partagé qui servira de base pour la semaine prochaine. Si chacun prend un élément et après vous le rassemblez, ça ne devrait pas prendre trop de temps.
Après le rendu intermédiaire, il ne reste que 5 semaines avant le rendu final. Vous aurez un site avec toutes ces contraintes et un programme mixte. Si le système est suffisamment défini, vous allez pouvoir travailler très très vite. -
This publication acts as an extension of the interactive exhibition and social experiment; it analyzes the 30.000 sequences selected by the public. Algorithms help understand the connection between the photographs, the number of times they were chosen by an individual visitor and how the visitors named their personal selection of images.The format of Phenotypes/Limited Forms asks for the visitors’ contribution and only with the help of their involvement the work of art is whole. Essays by curators and art historians discuss the subject on a theoretical level while examining the aspects of participation and emancipation as well as the question of the autonomy of images.Author(s): Armin Linke, Peter Hanappe, in collaboration with ZKM | Karlsruhe and Sony Computer Science LaboratoriesWith contributions by Estelle Blaschke, Wilfried Kuehn, Vittorio Loreto, Doreen Mende, Peter WeibelDesign: Laure Giletti and Gregory Dapra18 × 26,5 cm, 7 × 10 ½ in364 pages, 2700 illustrationspaperback2018, 978-3-03778-575-1, English -
Sous-sols de Paris, 1977En 1976, Gordon Matta-Clark commence à étendre ses explorations de l'architecture et de l'environnement urbain aux espaces souterrains. Il entame ce travail avec l'idée de relier ces espaces - leurs fondements, leur histoire, leur utilité présente - à cette «zone intermédiaire» que constitue l'espace construit, s'appliquant à dégager une intuition métaphysique par-delà le simple intérêt concret et contextuel de son projet.Le film Substrait, réalisé en 1976, documente ses premières explorations dans les sous-sols de New York. Pendant plusieurs jours d'affilée, muni d'une caméra et d'un équipement pour la prise de son, Matta-Clark se rend dans divers sites souterrains, accompagné de quelques amis artistes. Reconduite à Paris au printemps suivant, l'expérience débouchera sur le film Sous-Sols de Paris (1977). Pour réaliser ce film, Matta-Clark plonge à plusieurs reprises dans les entrailles de la Terre, explorant les soubassements de l'Opéra Garnier, une crypte située sous un immeuble moderniste du 6e arrondissement, les catacombes boulevard Saint-Michel ainsi qu'une cave, qui sert au stockage et à la dégustation du vin. Il prolonge ce travail par la création de montages d'images uniques qui, superposées verticalement, décrivent les multiples strates de la ville à la manière d'une coupe transversale.L'un de ces montages, par exemple, s'ouvre sur l'image de l'Opéra Garnier photographié au niveau de la rue, puis chaque image nous entraîne un peu plus bas, depuis la cage de scène et sa machinerie jusqu'aux fondations - l'image finale étant celle d'une grille verrouillée donnant sur l'étendue d'eau souterraine censée abriter le Fantôme de l'Opéra. -
On approche la moitié du semestre. Voyons l’état de lieu demain mais il faut impérativement avoir une réflexion claire à une notion cruciale:comment ce regard analytique que vous portez sur le site puisse se transformer en outil d’intervention sur le site capable de ré-structurer l’espace, d’organiser le programme, de requestionner les conventions, de diriger la discussion sur les problématiques générales...
Malgré la pertinence évidente des catalogues précis que vous essayez de construire à la fois comme outil de projet et de compréhension, l’intérêt de n'importe quel proposition d'intervention portera sur la transformation des espaces et la façon de les habiter, donc, le retour à la maquette pour certains est indispensable. Une problématique bien construite et bien développée ne peux pas tenir la route si elle n'est pas confrontée aux ambiances, atmosphères qu'elle produit et aux usagers qu'y sont engagés et convoqués. Il faut rentrer dans l'espace, il faut photographier les maquettes, il faut les regarder au niveau de l'oeil. -
LUIS CALLEJAS
OBJECT AS GROUND AS LANDSCAPE
CONFÉRENCE LE MARDI 16 OCTOBRE 2018 À 19H
Luis Callejas est directeur de l’agence LCLA OFFICE et professeur associé à la Oslo School of Architecture and Design, Norvège. Après avoir réalisé de grands projets publics à Medellin et Bogota (Colombie), Luis Callejas a reçu en 2013 le prix des jeunes architectes de l’Architectural League of New York. En 2016, Luis Callejas était l’un des trois finalistes du Rolex Mentor and Protégé Arts Initiative. En 10 ans d’expériences, Luis Callejas a reçu plusieurs distinctions au travers de plus de 30 concours et son travail a été exposé en Amérique du Nord, en Europe, en Australie et en Amérique latine. Il est également l’auteur de Pamphlet Architecture 33 (Princeton Architectural Press, NY). Précédemment, Luis Callejas a été professeur invité à l’Harvard University Graduate School of Design (2011 -2016), l’Escola da Cidade de São Paulo, la RMIT de Melbourne, l’Université de Toronto et a reçu en 2018 la bourse Patrick Geddes de l’Université d’Edinburgh -
ENJEUX / ATTENTES / DÉFISPendant ces semaines, nous sommes en train d'approfondir sur les différentes paramètres convoqués lors de la constitution de chaque élément architectural que je vous ai accordé: un mur, une fenêtre, une porte, un plafond, un escalier.... Il s'agit de décortiquer toutes les dimensions derrière une simple "objet". Si vous voulez savoir si votre réflexion va dans la bonne direction, il faut se demander dans quelle mesure:-elle engage une action-elle déclenche un ressenti-elle convoque des usages-elle structure un espaceQuand j'ai proposé un "module" de 3x4,5m, il s'agit bien d'un module virtuel. Il ne faut pas confondre ce cadre dimensionnel et de proportion avec l'espace construit, le calepinage de la structure o l'implantation des éléments constructifs. Il s'agit d'une surface qui permet d'accueillir presque tous les rituels propres à l'habiter avec une hauteur libre à fixer cas par cas au service de votre expérimentation.L'intérêt de travailler par dissociation / fragmentation / isolation des paramètres vise à redécouvrir cet élément (porte, fenêtre, façade…), à comprendre toute sa complexité, à multiplier sa capacité à faire porter le projet et à requestionner sa formalisation conventionnelle actuelle. La forme n'est pas un apriori mais c'est le résultat de la combinaison de plusieurs paramètres. Le site viendra ajouter une nouvelle couche lors de la deuxième partie du semestre.Les attentes sont un travail rigoureux, scientifique, approfondi, précis; une conscience de la complexité de chaque élément et la fabrication des moyens d’expérimentation propres à votre recherche.Le défi: requestionner notre façon d'habiter à travers de l'architecture elle-même. -
Airbnb, la ville ubériséeIan Brossat / Éditions La Ville BrûleAirbnb, Google, Amazon et Uber entendent fabriquer la ville du XXIe siècle. Va-t-on les laisser faire ?Loin de sa promesse initiale, l’économie du partage est devenue une économie de la prédation : Paris a vu 20 000 de ses logements disparaître au profit de la plateforme Airbnb, dont elle est la première destination mondiale.Données inédites à l’appui, Ian Brossat explore les conséquences de cette «ubérisation de l’urbain» : spéculation, loyers plus chers, éviction des habitant.es des centres-villes et ségrégation spatiale, standardisation et disparition des commerces, transformations des temps de vie et des usages de la ville, perte d’identité des quartiers...Pour lutter contre l’ubérisation des villes, il faut se reposer la question des géographies du pouvoir. Une question d’autant plus urgente qu’Airbnb n’est que la face émergée d’un iceberg beaucoup plus vaste: Google se lance la promotion immobilière, Amazon se positionne en concurrent de tous les commerces, du vêtement à l’aliment, Uber privatise la circulation en ville.Ces acteurs, plus puissants que des États, entendent transformer nos villes en marchés, et peser sur les lois pour maximiser leurs profits. Allons-nous les laisser faire?Ian Brossat, 38 ans, est Adjoint à la Mairie de Paris chargé du logement et de l’hébergement d’urgence. Nouvelle figure de la gauche française, il se bat pour la mise en oeuvre d’une mixité sociale réelle dans la capitale. Depuis 2014, il se bat face aux lobbys et à Airbnb pour réguler la multinationale américaine, en France et en Europe.
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Présentation du livre:RECOLLECTING LANDSCAPES
Rephotography, Memory and Transformation1904-1980-2004-2014
De 1904 à 1911 le botaniste Jean MASSART a réalisé une série de photographies de paysages en Flandre dans le but de décrire la végétation naturelle du paysage et la relation entre agriculture et géographie. En 1980, Georges CHARLIER a photographié une soixantaine d’images de Massart et en 2003, Jan KEMPENAERS a été chargé de photographier les mêmes scènes. Une quatrième série a été réalisée par Michiel DE CLEENE en 2014. Ces quatre séries mettent chacune l’accent sur différentes perceptions du paysage. Des aspects documentaires, artistiques et scientifiques peuvent être perçus dans chacune. Cette collection ainsi constituée sert maintenant de base de recherches sur l’urbanisation et les mutations du paysage.Librairie VOLUME / Mercredi 10 octobre 19h30 -
Lors de la Biennale de Venise 2014, Rem Koolhaas a voulu prendre l'occasion pour revenir aux fondamentaux de notre discipline. Suivi et développé par une large palette de praticiens, enseignants et chercheurs, le catalogue a été structuré en plusieurs dispositifs que de façon isolé on fait l'objet des études chronologiques. Dans un premier temps de ce semestre, nous voulons nous appuyer sur ces recherches afin de comprendre l'évolution de chaque élément. Par la suite, chaque étudiant(e) a été assigné un dispositif qui doit transformer en outil de projet, c'est-à-dire, il doit faire porter tout le projet sur lui. Au lieu de répondre à chaque problématique du projet avec un dispositif différent, celui qui lui a été accordé va prendre le rôle principal. On est dans l'expérimentation, il faut pousser la capacité de cet élément, lui faire subir toute sorte de transformations pour dépasser les conventions. Les autres éléments peuvent apparaître, mais toujours subjugués au élément qui est moteur de projet.
Il s'agit d'un premier travail sans contexte précis. Dans cette étape, le contexte sera le dispositif lui-même avec toutes les déclinations possibles. C'est une recherche ouverte mais rigoureuse pour aboutir à un sorte de catalogue des solutions possibles qui fait avancer notre compréhension de chaque élément. La notion de SYSTÈME va jouer un rôle important. Un système est constitué par un ensemble d'éléments qui ont des rapports très spécifiques entre eux. Dans un deuxième temps, le site viendra s'intégrer dans l'équation.
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