-Verticalité de l’École. Sentiment d’appartenance. Evénements, outils, dispositifs et espaces architecturaux pour approfondir ou non, dans la création d’une identité commune (voyages d’études, expositions, colloques, biennale…). Scissure entre License et Master.
-Participation et engagement des étudiants au fonctionnement de l’ensemble. Gestion de certains espaces. Association d’étudiants. Appropriation du lieu.
-Étudiants en mobilité (programme Erasmus). Insertion dans le parcours de la formation. Durée, imbrication, atouts. Impact sur l’enseignement. Richesse des échanges. Accueil, éventuel hébergement dans les locaux.
-Le rôle politique de l’architecte. Prise de position par rapport aux enjeux actuels, d’autres modes d’exercer la profession. Ouverture de l’ensemble à la ville, physique (définition limites) et conceptuel (participation, mutualisation des espaces).
-Définition de l'ensemble. Espaces monofonctionnels ou plurifonctionnels, programmés ou non programmés (serendipité). Mutation, résilience, standardisation ou spécialisation. Introversion/extroversion. Contrôle et transition intimité/collectivité.
-Conception de l’atelier. Physique: espaces de rangement, affichage, informatique, maquettes... Conceptuel: Studios verticaux/horizontaux, imbrication de plusieurs niveaux, regroupement des enseignants, partage de sujets, partage d’espaces.
-Projet pédagogique. Organisation de l’école par disciplines, départements, structure interne? Formation complémentaire. Double cursus. Armature capable d’établir connexions entre les cours et le Studio. Critères de développement du Studio à travers L+M (échelle croissante, type de programme, habitation/équipement).
-Emploi du temps. Temporalité. Distribution pendant l’année, période de vacances, examens. Distribution pendant la semaine (LMM/JV (actuelle) ou Matin/Après-midi), horaires. Durée des Cours magistraux ou intensifs de théorie. Proportion de temps et crédits dédiés à pratique/théorie. Rapport mémoire/projet. PFE (portée, durée, choix de sujet).
-Participation et engagement des étudiants au fonctionnement de l’ensemble. Gestion de certains espaces. Association d’étudiants. Appropriation du lieu.
-Étudiants en mobilité (programme Erasmus). Insertion dans le parcours de la formation. Durée, imbrication, atouts. Impact sur l’enseignement. Richesse des échanges. Accueil, éventuel hébergement dans les locaux.
-Le rôle politique de l’architecte. Prise de position par rapport aux enjeux actuels, d’autres modes d’exercer la profession. Ouverture de l’ensemble à la ville, physique (définition limites) et conceptuel (participation, mutualisation des espaces).
-Définition de l'ensemble. Espaces monofonctionnels ou plurifonctionnels, programmés ou non programmés (serendipité). Mutation, résilience, standardisation ou spécialisation. Introversion/extroversion. Contrôle et transition intimité/collectivité.
-Conception de l’atelier. Physique: espaces de rangement, affichage, informatique, maquettes... Conceptuel: Studios verticaux/horizontaux, imbrication de plusieurs niveaux, regroupement des enseignants, partage de sujets, partage d’espaces.
-Projet pédagogique. Organisation de l’école par disciplines, départements, structure interne? Formation complémentaire. Double cursus. Armature capable d’établir connexions entre les cours et le Studio. Critères de développement du Studio à travers L+M (échelle croissante, type de programme, habitation/équipement).
-Emploi du temps. Temporalité. Distribution pendant l’année, période de vacances, examens. Distribution pendant la semaine (LMM/JV (actuelle) ou Matin/Après-midi), horaires. Durée des Cours magistraux ou intensifs de théorie. Proportion de temps et crédits dédiés à pratique/théorie. Rapport mémoire/projet. PFE (portée, durée, choix de sujet).
0 commentaires → Quelques réflexions autour d'une ENSA
Enregistrer un commentaire